Je suis enfiévré de toi, mon doux et tendre oiseau des îles, toi qui m’as fait découvrir cet archipel inconnu qu’est l’amour
Je n’ai qu’une envie me coller contre toi, goûter, savourer ta tendre peau si douce.
Me faire dorloter par toi, ma douce et petite déesse câline.
Ma plume est chaque jour davantage, dépendante de ton souvenir.
J’ai un besoin absolu et vital de ce visage qui me sourit dans la clarté du matin, heureuse, comblée enfin.
Je n’ai point l’intention de vivre dans mon seul souvenir, il est morose et si fade, à la longue, à vrai dire.
Pareil à un malade sans remède j’erre dans les volutes vaines des imaginaires plaisirs.
Ton ombre voluptueuse plane sur chacun de mes jours. Je ne peux que me rappeler que de présence si douce, si rassurante, si féminine.
Ressasser ces souvenir d’hier me pèse, me fait languir, et finalement me perd. Car rien ne vaut ta douce voix, caressante et enfantine, tes mains si pleines de mille attentions, si généreuses, si sublimes.
Ta présence incarnée est mon unique remède, petite colombe, parfois en cage, mais toujours si altère.
J’aspire encore et encore et encore à te voir, voilà donc mon unique espoir.
Tu es mon soleil se levant sur les dunes du désert. L’écho du souffle si puissant, balayant, les angoisses
Tu es le torrent de plaisirs qui fait se lever en moi, l’homme qui sommeille, et ardemment te désire.
Je n’ai qu’une envie me coller contre toi, goûter, savourer ta tendre peau si douce.
Me faire dorloter par toi, ma douce et petite déesse câline.
Ma plume est chaque jour davantage, dépendante de ton souvenir.
J’ai un besoin absolu et vital de ce visage qui me sourit dans la clarté du matin, heureuse, comblée enfin.
Je n’ai point l’intention de vivre dans mon seul souvenir, il est morose et si fade, à la longue, à vrai dire.
Pareil à un malade sans remède j’erre dans les volutes vaines des imaginaires plaisirs.
Ton ombre voluptueuse plane sur chacun de mes jours. Je ne peux que me rappeler que de présence si douce, si rassurante, si féminine.
Ressasser ces souvenir d’hier me pèse, me fait languir, et finalement me perd. Car rien ne vaut ta douce voix, caressante et enfantine, tes mains si pleines de mille attentions, si généreuses, si sublimes.
Ta présence incarnée est mon unique remède, petite colombe, parfois en cage, mais toujours si altère.
J’aspire encore et encore et encore à te voir, voilà donc mon unique espoir.
Tu es mon soleil se levant sur les dunes du désert. L’écho du souffle si puissant, balayant, les angoisses
Tu es le torrent de plaisirs qui fait se lever en moi, l’homme qui sommeille, et ardemment te désire.
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